mercredi 17 août 2011

LIVING ON THE EDGE OF TIME - YUKSEK (2011)

La France en force ! (6)


Grosse erreur de ma part. Son premier album avait tourné en boucle pendant longtemps pourtant, j’ai suivi la sortie de son deuxième opus mais alors ça m’a complètement échappé d'écrire une chronique. J’en suis désolé et c’est peut-être inutile de faire cette chronique avec plus de deux mois en retard, mais ça me tiens à cœur parce que j’adore vraiment ce qu’il fait ! Un album qui est si bien construit.
Comme dans son premier album, chaque morceau (ou presque) est un pur tube qui passe dans n’importe quelle situation que ce soit pour danser, pour marcher en ville, chez soi etc…

Déjà rien qu’avec « Always On The Run » il nous confirme son talent, qu’il ne s’est pas éteint après un premier album fantastique et qu’il va continuer de nous faire rêver. Titre puissant, parfait pour danser et un des meilleurs. Dans l’esprit de la soirée, « White Keys » est le genre de morceau où on arrête un peu de danser, il faudrait peut-être mettre plus d’intensité au début quand même.  L’intro de "Off The Wall" est dans le même style, je me suis dis que quand même faut pas pousser on s’arrête pas de danser pendant deux chanson, mais en fait il a tout calculé sans fautes, et le refrain et les beats envoient du bon rythme même s’ils sont pas si lourd que ça.

On repars « On A Train ». Des beats graves et lourds avec la grosse caisse et la caisse claire derrière qui battent le temps et qui envoient du bon rythme. Après, « Say A Word » est  pas dingue, le chant du refrain est un peu bancal on va dire. Mais je ne vous ai pas menti ! Parce que le riff du refrain sans le chant est juste dingue !

Et je trouve que l’arpège de fond du début  de  « To See You Smile » me rappelle le premier album. Un mélange de voix ingénieux, et une montée magnifique lorsque les chœurs de fond prennent le dessus. J’aime bien cette habitude qu’il a de commencer un morceau avec l’ambiance du précédent. Second exemple avec « The Edge », déjà vu avec « White Keys" et « Off The Wall ». Et il ne se trompe pas dans le choix de l’ambiance qui suit,  avec un riff accrocheur, et qui fait rêver. Un peu nostalgique. Le genre de formule sur laquelle il avait misé sur le premier album et qui avait marchée.

Et on retourne danser ! « Fireworks » est juste la chanson à l’équilibre parfait. Un peu sombre comme j’aime, son style nostalgique et puis sa perfection ! Un de mes morceaux préférés. Et qu’est-ce que j’aime ce style qu’il a gardé pour la deuxième moitié de l’album pour nous dire aussi qu’il n’a pas oublié ses origines. Ou juste qu’il a compris qu’on en voulais encore ! Je parle là du refrain de « Miracle ».
On sent la clôture de l'album arriver. Jusqu’à la moitié de « You Should Talk », on pourrait presque se noyer dans ses pensées et oublier le morceau, jusqu’à que ça pète et qu’on se rende compte que le riff est magique. Et la fin. "Dead Or Alive". Très bon calcul de morceau de fermeture à son compte encore une fois. Et je n’ai rien d’autre à rajouter.

En tout cas après un deuxième album comme ça, on ne peut qu’espérer qu’il nous surprenne encore et encore maintenant qu’on est sûr qu’il en est capable !  Et je lui décerne un sans faute ! Un petit bijou électro/pop (bien plus pop que son premier opus d'ailleurs). Parce que le premier album avait beau être une réussite mais j’en saute quelques unes encore.
















Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire