@Festival des singes heureux |
Il est bon d’annoncer premièrement que le second album de The Dodoz, Forever I Can Purr, sorti à la rentrée est mon meilleur disque de l’année. Maintenant, direction la Maroquinerie pour mon premier live du groupe, autant dire tout de suite que mes attentes étaient hautes. Et je n’ai pas été déçu.
Dès le premier morceau, on démarre fort avec Death In The
Pocket Of His Coat, qui ouvre le nouvel album et le connu Happy Soldier. Aucun mot n’est dit mais on enchaine,
on passe au premier album, et on a le droit à de nombreux instrumentaux inédits. Tout ça pour dire que rien que pour ça, The Dodoz en live
ça en vaut la peine. Et le groupe se donne de la peine pour nous. Adrien, le
batteur, irait presque à se sacrifier pour enchainer deux morceaux, mais il a
réussi à boire en jouant de la batterie grâce à un système révolutionnaire, pour le moins précaire. Enfin bref, les deux guitares savent ce qu’elles font, elles
se répondent, et l’album se met à vivre sur scène. Ils savent tous ce qu’ils
font, rien de déborde, à part une puissance et de l’énergie venant du groupe.
Même si Ghost se glisse au milieu de la setlist, la tension de descend pas d’un
poil. Une petite dédicace à Monique sur Dum Dum, et la grande révélation du concert est Warm Me Up. J’en avais parlé dans ma
chronique ici, et je ne retire pas ce que j’ai dis. Par contre en live, je
m’incline. Géraldine, la chanteuse, contrôle en effet mieux sa voix, et ça me
confirme que pour le deuxième album la voix a été plus travaillée dans son ton
de voix. Ca saute de partout, on a le droit à un rappel avec
des pogos (oui, même à la Maroquinerie, mais il faut remercier les messieurs
bourrés). Tout s’enchaine bien, 8 morceaux du premier album, 8 morceau du
deuxième album, un mix parfait entre les deux.
Je vous laisse la vidéo de la fin du concert
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire